La nuit où ma femme a découvert le plaisir des godes géants

La nuit où ma femme a découvert le plaisir des godes géants

Cela faisait plus de dix ans que nous partagions nos nuits. Le sexe était toujours agréable, tendre, complice… mais quelque chose manquait. Un soir, entre deux verres de vin, nous avons osé mettre des mots sur ce que nous ressentions : et si nous essayions autre chose ?

La curiosité qui nous entraîne

Nous avons d'abord acheté quelques vibromasseurs. Trop rapides, trop violents pour elle. Ils la faisaient frissonner mais sans jamais vraiment la submerger. J'ai compris qu'il nous fallait autre chose… quelque chose de plus charnel, de plus pénétrant. Alors j'ai commandé un gode, légèrement plus grand que moi.

La première fois que je l'ai fait glisser en elle, elle a crié, le corps traversé d'orgasmes courts mais fulgurants. J'étais fasciné par la manière dont elle se cambrait, perdue entre mes caresses et ce nouveau plaisir. C'est là qu'une pensée s'est glissée dans mon esprit : et si elle découvrait une bite vraiment énorme ?

Le choix audacieux

Je lui ai posé la question, le cœur battant. Elle a rougi, a hésité, puis a simplement dit :

« D'accord… mais doucement. »

J'ai alors choisi un gode réaliste par Xeoxhoney, long, épais, presque intimidant. Quand il est arrivé, je l'ai caché. Trop imposant pour lui montrer tout de suite. J'attendais le moment parfait.

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La nuit de la révélation

Ce soir-là, nous avions dîné, bu quelques verres. Son rire résonnait encore quand je l'ai prise dans mes bras. Nos baisers se sont vite transformés en morsures, nos mains s'accrochant partout. Ses seins étaient déjà tendus sous mes lèvres. Je suis descendu entre ses cuisses, je l'ai goûtée, lentement, jusqu'à ce qu'elle halète. Ses jambes tremblaient déjà, sa chatte se gorgeait de chaleur sous ma langue.

Quand ses yeux se sont clos, j'ai discrètement attrapé le jouet dans une serviette. Enduit de lubrifiant, il brillait, lourd dans ma main. J'ai continué à la lécher, mes doigts en elle, jusqu'à ce qu'elle se cambre, offerte. Puis j'ai remplacé mes doigts par la large tête du gode, que j'ai frottée doucement contre son clitoris et son mont de Vénus.

Elle a sursauté.

« Qu'est-ce que… oh mon dieu… »

Je n'ai pas répondu. J'ai laissé le gland appuyer, puis pénétrer à peine. Ses lèvres se sont ouvertes d'elles-mêmes, aspirant le jouet comme si son corps le réclamait déjà.

L'abandon au plaisir

« C'est énorme… » a-t-elle murmuré, les jambes écartées au maximum.

« Mais continue. »

Alors je l'ai fait. Lentement. Centimètre par centimètre. Son bassin s'est mis à rouler contre moi, à chercher plus profond. Ses gémissements se sont faits rauques, presque des supplications. Son corps entier vibrait sous moi.

Bientôt, le jouet était enfoncé presque entièrement. Elle a crié, une main plaquée contre ma nuque, l'autre agrippant les draps. Ses hanches se soulevaient pour le reprendre à chaque va-et-vient, comme si elle ne voulait plus jamais le laisser sortir.

Puis c'est arrivé. Son corps s'est contracté violemment, ses cuisses se sont serrées autour de moi et elle a joui. Pas un simple orgasme. Un torrent. Elle tremblait, haletait, le visage défait par le plaisir. J'ai continué doucement, la laissant surfer sur cette vague interminable.

Dildo polyvalent pour des sensations variées

L'après

Vingt minutes plus tard, son corps était encore parcouru de spasmes. Quand j'ai retiré le gode et que je me suis glissé en elle, j'ai senti à quel point elle était chaude, tendue, encore dilatée. L'accueillir à ce moment-là, c'était comme plonger dans un feu. J'ai tenu quelques minutes à peine avant de jouir, ivre de son abandon.

En voyant le jouet ensuite, elle a éclaté de rire, mi-honteuse, mi-excitée :

« Ce… ce monstre, tu l'avais vraiment mis en moi !? »

Je lui ai soufflé à l'oreille :

« Et tu l'as pris à merveille. »

Depuis ce soir-là, rien n'a plus été pareil. Elle a découvert qu'elle adorait cette sensation de remplissage extrême, et moi de la voir perdre le contrôle. Aujourd'hui, notre collection s'est agrandie, et chaque nouveau jouet est l'occasion de repousser encore un peu les limites.

Nous pensions pimenter nos nuits. Nous avons ouvert une porte.

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